10 bonnes raisons de mettre Fujifilm Instax SQ10 au pied du sapin de Noël

Vous avez envie d’acheter un appareil photo instantané mais vous hésitez. Vous regardez avec intérêt le renouveau, pour ne pas utiliser le terme de renaissance de Polaroid qui produit à nouveau des appareils photo instantanés et des films et vous vous dites que vous vous laisseriez volontiers tenter par l’achat d’un Polaroid. Honnêtement, je ne suis pas sûr que Polaroid soit une bonne idée. Il y a en revanche une alternative nettement plus intéressante, c’est Fujifilm Instax SQ1O. Il y a quelques temps, j’ai eu comme vous une grosse envie de retrouver cette sensation unique de la photographie instantanée, ce que j’ai qualifiée de photo magique. Et je me suis lancé, pour voir. À l’occasion de l’Atlantique Jazz festival, j’ai utilisé un Fujifilm Instax SQ10. Après quelques tâtonnements de rigueur, j’ai fini par trouver assez rapidement mes marques et je dois avouer que ce petit appareil hybride m’a véritablement enthousiasmé. En fait, Fujifilm Instax SQ10 est un appareil universel, aussi capable d’enchanter un photographe du dimanche que de s’intégrer dans le projet esthétique d’un plasticien. Voici 10 bonnes raisons de mettre Fujifilm Instax SQ10 au pied de votre sapin.

Fujifilm Instax SQ10. Noël magique garanti

1- Le format carré

Je me souviens de l’émotion qui m’a submergé lorsque j’ai vu, de mes propres yeux, les tout premiers tirages au format square. Le format carré, c’est le format historique du Polaroid. Et la première chose que les gens m’ont dit en voyant sortir cet Instax, c’est bien ça. C’est un Polaroid. Fujifilm a d’abord sorti le format mini, un peu rikiki à mon goût. Puis, dans la foulée, le format wide qui ressemblait au format rectangulaire du légendaire film pack. Avec le format Square, la boucle est bouclée.

2- La qualité du process

C’est LE point essentiel. Quand on compare un Instax avec n’importe quel film Polaroid Originals (autrement dit Impossible Project), pour employer une expression triviale, y’a pas photo ! Pour mémoire, Fujifilm connaît et maîtrise parfaitement le process de l’instantané. La marque japonaise a produit pendant des lustres les formats film pack couleur et noir et blanc, puis l’instax. Les résultats sont excellents quand Polaroid Impossible continue à évoluer dans l’approximatif. Il y a autant de différence entre un traitement Instax et un film Impossible qu’entre une version finale et une version béta. Si vous voulez une excellente qualité d’image, optez pour Instax.

3- C’est un hybride

C’est l’autre point fort de Fujifilm Instax SQ10. C’est un véritable appareil photo numérique, qui permet le stockage sur une carte mémoire, autant dire que virtuellement on ne sera pas limité. Pendant mon test, j’ai utilisé une modeste carte micro SD 16Go. Sachant que le poids d’une photo est inférieure à 1Mo, pour une définition de 1900px par 1900px, je vous laisse le soin de calculer l’autonomie. C’est aussi un appareil argentique capable de produire des photos instantanées. Bref. Fujifilm Instax SQ10 c’est le meilleur des deux mondes.

4- Une cuisine tout équipée

Les amateurs de traitement Instagram ne seront pas dépaysés. Fujifilm a eu la riche idée de proposer des presets de traitement, des réglages de luminosité, de contraste, de vignettage qu’on peut appliquer à chaque photo réalisée. Les réglages sont mémorisés, ce qui veut dire qu’on peut passer à autre chose, quand on revient sur la visualisation de la photo, les réglages n’ont pas bougé. Traitement couleur, sépia ou noir et blanc, tous les délires sont possibles. C’est pas seulement de la photo, c’est amusant et ça, ça fait toute la différence.

5- L’impression à la demande

Avant, quand on faisait une photo instantanée, on en avait un exemplaire unique et il sortait, que ça vous plaise ou pas. Avec Fujifilm Instax SQ10, cette logique disparaît. D’abord, on peut choisir d’imprimer tout de suite ou d’imprimer plus tard. D’imprimer en un exemplaire, en plusieurs exemplaires, de ne pas imprimer du tout, ce qui peut s’avérer singulièrement économique. De sortir l’instax tel quel ou de le proder. Avec Instax SQ10 on a la liberté de faire comme on veut.

6- Couleur ou noir et blanc, c’est vous qui voyez

J’avais demandé à Fuji s’il existait un film Instax Square noir et blanc. Qiuestion incongrue, car le film Instax peut aussi bien être imprimé en couleur comme en noir et blanc. Vous prenez votre photo, vous choisissez le mode monochrome, vous jouez avec les réglages de contraste, de luminosité, de vignettage et le tour est joué. Le résultat ? Il est aussi bon en noir et blanc qu’en couleur.

7- L’ergonomie

Instax Square est carré comme son nom l’indique. Il est léger et son ergonomie permet une prise en main aisée, que vous soyez gaucher ou droitier. Fuji a placé un déclencheur de chaque côté de l’optique. Vous pouvez paramétrer l’Instax pour déclencher avec la main droite ou la gauche, désactiver le déclencheur de votre choix ou garder les deux. Pas de viseur, certes, mais on s’habitude très vite à la visée live view. L’appareil s’allume en tournant la bague de l’optique. On se sent très rapidement à l’aise.

8- Le recadrage

Une fois l’image prodée, avec le preset de votre choix, les réglages de contraste, de luminosité, de vignettage et avant d’imprimer votre Instax, vous pouvez recadrer votre photo en tournant la molette arrière et en déplaçant votre image. C’est simple mais il fallait y penser. Cette fonctionnalité permet d’obtenir des variations d’une même image. Finalement, Instax n’a qu’une limite. Celle de votre imagination.

9- La convivialité

Un mariage ? Une réunion de famille ? Un repas entre potes ? Instax SQ10 c’est magique. Un outil fascinant. Les gens redécouvrent le pouvoir de séduction massive d’une image imprimée. Faites participer les gens que vous photographiez comme je l’ai fait avec les artistes de l’Atlantique Jazz festival, en les invitant à imprimer eux-même « leur » photo. Regardez leur visage s’illuminer, leur sourire, leurs éclats de rire quand ils voient l’image sortir de l’appareil. Aucun doute. Instax SQ10 a le sens de la fête…

10- Le prix

Oui, le prix est aussi un argument. L’appareil coûte 289€ chez Amazon ce qui finalement reste un prix très accessible. Il convient d’ajouter une bonne carte Micro SD (comptez environ 12€ pour une carte 32Go avec une carte adptateur SD). Pour un peu moins de 20€ une ravissante housse en cuir donnera un look résolument vintage à votre SQ10. Quand au prix de l’instax lui même, comptez environ 1€ par photo (9,99€ le pack de 10 photos). Quand on compare ce prix à ce qu’il faut débourser chez Polaroid Originals (Impossible), c’est à la louche 2,5 fois moins cher chez Fujifilm, pour un résultat qualitatif incomparable.

• En conclusion, zéro défaut ?

Bien sûr, les puristes vont regretter l’absence du sacrosaint viseur. Pour ma part, je regrette surtout de ne pas pouvoir prendre un peu plus le contrôle sur les réglages de l’appareil, avec un vrai mode manuel qui permettrait de décupler les capacités de Instax SQ10. À part ça, j’ai vécu une formidable expérience avec ce petit Instax Fujifilm. J’adore le format Square, la qualité et le rendu de l’image. On n’oublie pas que Fujifilm a produit durant des années le fameux film pack, alors le process instantané, ils savent faire. Mais surtout, ce que j’ai adoré, par dessus tout, c’est que cet outil permet d’approcher les gens, de les faire participer à l’acte photographique. Ils ne sont plus vos modèles, passifs, ils deviennent vos complices. Grâce à Instax, la photographie retrouve sa vocation sociale, en partageant un instant de vie.

• Comme toujours, il est inutile de préciser que cet article n’est pas sponsorisé, mais si mes ami(e)s de Fujifilm France veulent mettre un Instax SQ10 au pied de mon sapin de Noël, je ne dirais pas non !

• sur le même sujet, deux autres articles à lire sur SHOTS. La magie de l’instant. Une photo magique à Atlantique Jazz festival.