En février 2007, à l’issue du concert de R-Wan de Java au Run ar Puñs, j’écris ces lignes sur Cinquième nuit: « …un gang de groupies sur le coup, chaudes comme des baraques à frites, prêtes à en découdre, à hurler, à investir la scène, à se l’accaparer, à donner ce petit grain de folie qui fait passer toute la salle dans la quatrième dimension. Tu la sens ma grosse ambiance ? » Samedi dernier, pour le concert de Dajla + Tumi and the Volume, Jakez (le patron du Run) m’accueille à l’entrée et me dit « Hervé, tu vas être content, les baraques à frites sont parmi nous ce soir ! » Et effectivement, avant le début du concert, quelqu’un dans la salle lance un appel : « les baraques à frites sont demandées devant la scène« . Et là je vois débouler les filles spécialistes ès ambiances sur le dance floor du Run. Et comme d’habitude, elles ne vont pas faillir à leur réputation (même si ce soir-là, les filles vous étiez un peu en dessous…). Respect donc à ces filles en particulier et au public du Run ar Puñs en général sans qui les concerts ne seraient pas vraiment ce qu’ils sont. Et une pensée particulière à Benoit Poelvoorde, dans Podium.
~laurent dit
> Tu la sens ma grosse ambiance
hervé … voyons … on dirait du Bigard. Faut qd même faire attention au niveau 😉
harvey dit
Rien de tendancieux, juste une figure de style 😉