En parcourant internet je suis tombé par hasard (et pas rasé) sur une page où ça causait de Cinquième nuit, l’article évoquait – je cite – Hervé Le Gall, photographe de rock et je sais pas pourquoi, mais ça m’a touché. Je me suis dit qu’au fond, c’est ça que j’aime, alors qu’on me désigne sous cette étiquette, photographe de rock, eh ben ça me va plutôt bien. C’est pas une question d’ego, j’en ai pas d’ego et de toutes façons je ne suis jamais content de mes photos. Non, c’est juste que le rock c’est ma famille. Je ne suis jamais plus heureux qu’à un concert de rock, dans le public, même si c’est parfois casse-gueule (dans tous les sens du terme). Pour citer Miossec, j’aime les concerts qui sentent la bière et l’animal. Qu’on se souvienne de mon nom, aucune importance, je ne rentrerai de toutes façons jamais dans une quelconque putain d’académie et surtout pas un truc rien qu’avec des photographes, c’est un coup à perdre le peu de santé mentale qu’il me resterait. Quitte à emporter avec moi une épitaphe, celle-là me va bien, comme un compliment, une marque de fabrique. Hervé Le Gall. Photographe de rock.
Bonjour,
je voudrais savoir quel(s) objectif(s) tu utilises?
Cordialement, caro
Ah ! Si je gagnais 1 euro chaque fois qu’on me pose cette question, à laquelle je réponds rarement vu que tout ce qui est technique m’emmerde un peu. Donc j’ai deux objectifs, un 16/35 2.8L et un 70/200 2.8L IS, qui couvrent les focales dont j’ai besoin. En festival, il m’arrive d’utiliser un extender 1.4 mais c’est assez rare.
Alors, je vous paye un verre au prochain concert… 😉